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MYTHOLOGIES III. LES MÉTAMORPHOSES tirage de tête - 1

Letizia LE FUR

180.00

Livre signé + un tirage fine art signé 13 x 18 cm
(tirage pigmentaire sur museum Hahnemühle 350g)

10 exemplaires, 2 images au choix.

Photographies / Photographs: Letizia LE FUR
Texte / Text: Gilou Le Gruiec

Conception graphique / Graphic design : BIZZARRI-RODRIGUEZ

120 pages + couverture - 23,5 x 32 cm - Français et Anglais
Tirage de 800 exemplaires (dont 200 en version coréenne)

ISBN 979-10-97416-57-7
RDB 012

Imprimé en août 2022 sur les presses de l’imprimerie Escourbiac (Graulhet – 81)
Printed in August 2022 on the presses of imprimerie Escourbiac (Graulhet - 81)

Couverture rembordée sur carton
Papiers : Munken lynx 130 g / Papago Abricot 120 g / Materica Kraft 120 g
Reliure cartonnée, cahiers cousus, dos droit repincé, coupe franche en tête et pied

« Nos corps ne sont-ils pas soumis de même à la loi d’une continuelle transformation ?
Ce que nous étions hier, ce que nous sommes aujourd’hui, demain nous ne le serons plus. »
Ovide, Les métamorphoses, livre 15 (1er siècle ap. J.-C.)

Les Métamorphoses poursuit l'interprétation sensible des mythes de Letizia Le Fur.

Ce deuxième livre, inspiré de l’oeuvre éponyme d’Ovide, évoque les transformations des êtres lorsqu’ils
doivent séduire, conquérir ou fuir, dans une nature où le végétal, l’animal et le minéral peuvent se
mélanger et finissent parfois par se confondre

Travaillant la couleur comme le ferait une peintre, la photographe convoque la force de paysages
sauvages, la poésie de la nature environnante, des corps nus et des animaux dans ses
images empreintes de mystère.

Accompagné d'un texte de Gilou Le Gruiec (extrait) :

Letizia Le Fur s’est emparée de la photographie et a pris la tangente, volant avec volupté ce que la photographie a de mieux à offrir, n’en gardant que la substantifique moelle, la transformant en un merveilleux support pour mieux la transformer, la transgresser, la retravailler point par point, feuille par feuille, pierre par pierre, exacerbant les couleurs, renouant ainsi avec ses premières amours, la peinture. (…) L’imaginaire est pleinement aux commandes et nous embarque, quelque peu hallucinés, dans un espace-temps où le rêve est – réellement – à portée de regard. Rien ne semble vrai dans ses images, mais paradoxalement nous y reconnaissons notre lien fondamental au cosmos, à la puissante magnificence de la nature – autrement dit, nous y opérons un retour à l’essentiel et à ce qu’il y a de plus simple au monde : la mer, la terre, le ciel, seulement…